⚠️ Avertissement : Ce site est destiné uniquement aux personnes majeures (18+).
Les informations publiées sont à titre informatif et ne garantissent aucun gain.
Les jeux d’argent comportent des risques : endettement, isolement, dépendance.
👉 Jouez de manière responsable. Besoin d’aide ? Cliquez ici.
Recevez au quotidien la base , la sélection et le complément , notre pronostic est 100% et disponible 24/24. E-mail : magicquinte@gmail.com NOS RUBRIQUES : On en Parle Beaucoup - Pour une Place - Les Tocards - Complément - Les Étoiles du Quinté ! Infoline.

ABONNEZ-VOUS à Quinte-Magic, et profitez des pronostics fiables pour maximiser vos gains . Laissez-vous guider par nos experts et assurez vos chances de succès !"

SYNTHESE DEFINITIVE

Quinté Magic

Le travail des chevaux est toujours plus adorable qu’un travail régulier. Il est dédié aux personnes qui se consacrent aux courses de chevaux. Ils sont plus inspirés pour travailler avec eux et ne jamais abandonner à cause du changement climatique. Il en résulte des récompenses uniques pour eux. Ils ont entraîné leurs chevaux pour gagner les récompenses.

La plupart de notre communauté travaille et participe à diverses organisations en tant que cavaliers professionnels. Il existe plusieurs voies pavées pour une carrière dans les courses de chevaux. Quinté Magic est une course de chevaux à part entière inaugurée en Australie en 2001. Kevin Lamprecht entraîne le cheval de course Quinté.

QuintéMagic : Votre guide ultime des paris sur les courses de chevaux au Burkina Faso

QuintéMagic est un système populaire de paris sur les courses de chevaux au Burkina Faso qui propose une large gamme d’options pour les passionnés de courses de chevaux pour placer des paris et gagner gros. Le système QuintéMagic offre diverses fonctionnalités et options, notamment QuintéMagic gagnant, QuintéMagic Turf, QuintéMagic tiercé quarté, QuintéMagic turf, QuintéMagic turf magique, QuintéMagic flash course, QuintéMagic accueil, QuintéMagic gagnant placé, QuintéMagic couplé gagnant et bien plus encore.

Le site web QuintéMagic est facile à utiliser et propose des fonctionnalités claires pour les utilisateurs, notamment la possibilité de parier sur le tiercé, le quarté, le quinté, le couplé gagnant et le couplé placé. Vous pouvez également accéder à des pronostics et à des conseils pour aider à orienter vos choix.

QuintéMagic offre également des fonctionnalités spéciales pour les parieurs sérieux, notamment des paris de dernière minute et des conseils de paris incontournables. En outre, les parieurs peuvent accéder à des informations détaillées sur les courses et les chevaux participants, ainsi que des analyses et des prévisions.

Les options de paris QuintéMagic sont disponibles en ligne et via l’application mobile QuintéMagic, ce qui rend le processus de pari facile et pratique. En outre, le système QuintéMagic est régulièrement mis à jour pour s’assurer que les parieurs disposent des informations les plus récentes sur les courses de chevaux.

En somme, si vous cherchez un système de paris de qualité pour les courses de chevaux au Burkina Faso, QuintéMagic est certainement un choix à considérer. Avec ses fonctionnalités et options variées, il offre aux parieurs une excellente expérience de jeu et des chances de gagner gros.

Quels chiffres sont prévus pour le prochain cours QuintéMagic ?

Nous avons QuintéMagic Prediction pour vous et montrons les courses passées pour votre confort dans l’état d’esprit. Vous pouvez gagner le quinté+ d’aujourd’hui, où d’autres concurrents sont prêts à jouer avec vous. Faites une ligne de course à partir de ce guide, vérifiez votre position de conduite et préparez-vous. Les derniers conseils de course sont partagés à 9h30, heure normale du Royaume-Uni.

AVANTAGES DE NOS FORMULES D'ABONNEMENT

Le 26/01/2024

Chers amis Parieurs et passionnés des courses hippiques nous vous remercions pour l’intérêt que vous avez pour notre site PMU Quinté Magic, Le Pmu n'est pas un jeu de hasard comme beaucoup le croient.

En effet l'entreprise des paris hippiques qui fait des millions d'Euros chaque année planifie l'arrivée des Courses. En Français facile toutes les courses sont MANIPULÉES OUI!!! Vous vous êtes demandé pourquoi depuis plusieurs années vous jouez et vous ne gagnez pas ? Si OUI Nous avons la Solution pour Vous. Comme vous nous avons cherché depuis plus de 10 ans ou 20 ans une formule capable d'anticiper leurs Résultats. Finalement grâce a notre technologie basée sur les ROBOTS ET NOS STATISTIQUES DES ARRIVÉES DES 20 DERNIÈRES ANNÉES nous avons la Méthode qui va vous aidera a gagner. Ne perdez plus votre argent avec le PMU. Nous faisons des millionnaires chaque mois. Contactez nous pour passer du coté des GAGNANTS.

Le pari mutuel

Est le principe de pari selon lequel l’ensemble des enjeux misés par les parieurs lors de courses de chevaux est mutualisé en une masse commune puis redistribué aux gagnants au prorata de leurs mises, après déduction d’un prélèvement proportionnel destiné à financer :

  • la rémunération des sociétés organisatrices de courses, la dotation des courses et l’encouragement de l’élevage hippique ;
  • l’opérateur technique des paris ;
  • les contributions fiscales.

Créé en France en 1868 par Joseph Oller sur une idée de Léon Sari, il fait l’objet de la loi du  qui l’impose comme seul principe de jeu légal sur le territoire français et qui interdit l’organisation des paris à cotes fixes jusqu’alors proposés par les bookmakers indépendants. Il connaît un large développement en France puis est adopté aux États-Unis, où il conserve son nom français, au Japon et dans de nombreux pays sur tous les continents. Il représente aujourd’hui plus de 80 % du volume des paris enregistrés sur les courses hippiques dans le monde.

Le pari mutuel s’oppose au bookmaking ou pari à cote fixe pratiqué notamment au Royaume-Uni en parallèle du pari mutuel. Alors que le bookmaker pratiquant le pari à cote fixe est intéressé au résultat de la course, l’opérateur de pari mutuel est naturellement indépendant. Le pari mutuel apporte donc les plus grandes garanties d’éthique et de transparence aux paris d’argent. En France, il est animé au départ par deux sociétés d’exploitation : Pari mutuel Oller et Pari mutuel Chauvin, aujourd’hui regroupées dans la Compagnie du pari mutuel. Sous l’impulsion d’André Carrus, son dirigeant emblématique, la Compagnie du pari mutuel devait connaître un grand essor. L’exploitation initialement réservée aux hippodromes s’étend en 1930 à un réseau de ville à la demande des sociétés de course. Cela donne naissance au Pari mutuel urbain, le futur PMU. Outre l’élaboration du PMU, qu’il devait diriger pendant près de 40 ans, André Carrus a conçu le tiercé, qui démocratisa le pari mutuel.

Le pari mutuel

Est le principe de pari selon lequel l’ensemble des enjeux misés par les parieurs lors de courses de chevaux est mutualisé en une masse commune puis redistribué aux gagnants au prorata de leurs mises, après déduction d’un prélèvement proportionnel destiné à financer :

  • la rémunération des sociétés organisatrices de courses, la dotation des courses et l’encouragement de l’élevage hippique ;
  • l’opérateur technique des paris ;
  • les contributions fiscales.

Créé en France en 1868 par Joseph Oller sur une idée de Léon Sari, il fait l’objet de la loi du  qui l’impose comme seul principe de jeu légal sur le territoire français et qui interdit l’organisation des paris à cotes fixes jusqu’alors proposés par les bookmakers indépendants. Il connaît un large développement en France puis est adopté aux États-Unis, où il conserve son nom français, au Japon et dans de nombreux pays sur tous les continents. Il représente aujourd’hui plus de 80 % du volume des paris enregistrés sur les courses hippiques dans le monde.

Le pari mutuel s’oppose au bookmaking ou pari à cote fixe pratiqué notamment au Royaume-Uni en parallèle du pari mutuel. Alors que le bookmaker pratiquant le pari à cote fixe est intéressé au résultat de la course, l’opérateur de pari mutuel est naturellement indépendant. Le pari mutuel apporte donc les plus grandes garanties d’éthique et de transparence aux paris d’argent. En France, il est animé au départ par deux sociétés d’exploitation : Pari mutuel Oller et Pari mutuel Chauvin, aujourd’hui regroupées dans la Compagnie du pari mutuel. Sous l’impulsion d’André Carrus, son dirigeant emblématique, la Compagnie du pari mutuel devait connaître un grand essor. L’exploitation initialement réservée aux hippodromes s’étend en 1930 à un réseau de ville à la demande des sociétés de course. Cela donne naissance au Pari mutuel urbain, le futur PMU. Outre l’élaboration du PMU, qu’il devait diriger pendant près de 40 ans, André Carrus a conçu le tiercé, qui démocratisa le pari mutuel.

Le PMU,

Devenu en 1983 un groupement d’intérêt économique détenu par les sociétés de courses hippiques, assure la gestion de plus de 8 milliards d’euros d’enjeux en faisant le premier opérateur de pari mutuel en Europe. La Compagnie du pari mutuel, demeurée entreprise familiale, est un des piliers du Groupe Carrus, acteur international de référence dans le domaine de l’organisation du pari mutuel et des systèmes informatiques destinés à la gestion des paris.

Après la création de l’hippodrome de Longchamp en 1857, les courses attirent un public croissant. Rapidement, celui-ci commence à parier pour donner du piment au spectacle. Au jeu direct entre deux personnes se connaissant, se substitue le jeu public. Deux modes de paris se développent. Le pari à « la poule », où le joueur déposant sa mise se voit attribuer, au travers d’une loterie préalable à la course, le numéro d’un cheval engagé ; le détenteur du ticket portant le numéro du cheval vainqueur reçoit la totalité des mises. Inconvénient de ce système, le hasard joue un rôle, le parieur n’étant pas libre de son choix. Et le pari au livre avec une cote fixe proposée par un donneur à un preneur ; il est établi sur le mode anglais où il est exploité par des « bookmakers ». Deux risques : le pari est perdu par le preneur si le cheval ne court pas (courir ou payer, sacro-sainte règle) et le donneur peut avoir intérêt que perde le cheval choisi par le preneur (et être ainsi tenté d’influencer le résultat de la course).

C’est alors qu’un ingénieux catalan immigré, Joseph Oller (1839-1922), frappé des tricheries régnant dans ces paris à la poule, a l’idée d’exclure le hasard tout en maintenant le principe de mutualité, l’argent des perdants revenant aux gagnants. Il crée un pari laissant la possibilité de choisir un cheval. Les parieurs, qui ont désigné le cheval gagnant, se partagent la masse des enjeux après déduction d’une commission réservée à l’organisateur.

Celui-ci n’a aucun intérêt particulier à la victoire d’un cheval plutôt qu’à celle d’un autre, sa rémunération étant toujours la même. Sans ambiguïté, le pari mutuel connaît un succès immédiat. Les trois types de paris vont prospérer non seulement sur les hippodromes mais aussi dans des agences ayant pignon sur rue à Paris jusqu’au  quand, « au nom de la morale publique et dans l’intérêt des familles », le parquet intervient. Par un arrêt de la cour d’appel du , les « agences de poules » sont condamnées comme contrevenant aux lois prohibant les loteries. Un autre arrêt de la cour d’appel () condamne les « agences de pari mutuel » pour tenue de maisons de jeu de hasard. Conséquences directes : fermeture en bloc de toutes les agences proposant ce type de pari en ville et interdiction de son fonctionnement sur les hippodromes. Conséquence indirecte, prévisible (sauf par les naïfs), la ruée des parieurs vers les bookmakers.

Car, le pari à la cote, n’ayant pas été nommément condamné, peut être tenu pour toléré, à défaut d’être autorisé. Son existence tient à une subtile distinction. Si le pari mutuel est interdit, c’est que le hasard interviendrait du fait que le parieur est reconnu « ignorant », la cote de son cheval fluctuant jusqu’à l’arrêt des opérations. Ce ne peut être le cas dans le pari à la cote où le parieur est considéré « éclairé », puisque lui ne devient preneur qu’après s’être entendu avec le donneur sur la cote du cheval choisi en connaissance de cause. Donc le pari à la cote effectué entre personnes compétentes est licite. S’ouvre l’ère du pari à la cote proposé au comptant par les bookmakers dont l’activité n’était jusqu’alors que secondaire. Ils vont régner dans un quartier de Paris, entre les Grands Boulevards et la rue du Quatre-Septembre. Leurs boutiques envahissent les rues de Choiseul, de Gramont, de Hanovre et de la Michodière. À Longchamp, à Auteuil et sur les hippodromes suburbains, leurs piquets (où ils affichent les cotes) remplacent les voitures bariolées des agences proscrites. Jusqu’au jour où le conseil municipal de Paris constate que la Ville, propriétaire d’Auteuil, de Longchamp et de Vincennes, ne tire aucun profit du commerce prospère des paris effectués sur les trois hippodromes communaux. Le , il invite le préfet de la Seine à faire cesser le jeu sur toute l’étendue des trois hippodromes parisiens. Et le , le ministre de l’Intérieur envoie aux préfets une circulaire leur donnant des instructions pour briser l’industrie des bookmakers. La machine administrative se met en route. Bientôt, on fait les comptes et triste mine. Le public déserte les hippodromes. À Auteuil, pour six réunions, la recette aux entrées a chuté de 44 %. Les sociétés de courses parisiennes envisagent de diminuer les allocations et de supprimer les subventions accordées aux sociétés de province. Presse et éleveurs font entendre leur voix. Si les paris ne sont pas autorisés de nouveau, « les courses ne tarderont pas à suivre les paris dans la tombe », écrit le polémiste Henri Rochefort dans Le Gil Blas.

Disciplines des courses de chevaux

Il existe différentes disciplines pour les pronostics dans les courses hippiques :

Le Trot

L’appartement

L’Obstacle

A l’occasion d’un événement équestre, un meeting est organisé entre 7 et 9 courses, avec un départ toutes les demi-heures.

Verdict final

La prédiction pour QuintéMagic a été développée pour les admirateurs de course. Nous examinons la quantité massive de détails et de statistiques de base des courses QuintéMagic passées pour construire le parcours d’aujourd’hui. Les experts sont compétents pour apprendre la classe, la forme de l’entraîneur, les numéros gagnants et les données avancées pertinentes sur l’équitation.

 

Vous qui êtes fatigués de perdre et d'être arnaqué vous avez l'opportunité de gagner au pmu en rejoignant le cercle de nos MEMBRE ABONNÉS. L'intelligence artificielle est votre allié pour réussir. Découvrez nos pronostics ULTRA PERFORMANTS. Investissez dans votre FUTUR

Toulouse Awards et prédiction de nombres.

 

Au début, le tout manuel

Dès 1865, c’est d’abord naturellement sur l’hippodrome que Joseph Oller organise la prise de paris où il n’est pas question de totalisateur ou de terminaux de saisie puisque tout se fait à la main. À l’époque, ni les télécommunications, ni les moyens de saisie et de centralisation ne permettaient une quelconque automatisation. Pourtant, les pionniers ont montré que l’on pouvait mettre le pari mutuel à portée de la plus grande masse, sans avoir recours à la technologie. Le premier système de pari mutuel est constitué de blocs-compteurs, l’équipement mobile d’un guichet pesant 300 kg. Quelques années plus tard, en 1888, Albert Chauvin, après avoir été salarié pendant quelques mois du Pari mutuel Oller, démissionne et dépose le brevet d’un système qui est bientôt reconnu comme plus rapide et plus sécurisé que le système Oller. En 1891, les deux tiers des sociétés de courses feront appel à sa compagnie. Bien plus tard, en 1952, le système manuel Chauvin sera amélioré par André Carrus, son gendre, et Pierre et Jacques Carrus ses petits- fils, afin, notamment, de pouvoir être plus facilement transporté d’un hippodrome à l’autre. Enfin, en 1957, trois ans après le lancement du pari Tiercé et alors que celui-ci connaît un développement considérable, André Carrus met au point, toujours avec ses fils, un bel exemple de système à activité répartie et à traitement différé, système qui permet de traiter principalement les paris collectés dans les réseaux de paris pris en avance. Le bordereau encoché à volets carbonés, la pince à encocher, la valideuse à main, les aiguilles à trier ont servi les turfistes du dimanche matin pendant plus de 30 ans. Entièrement manuel jusqu’en 1987, le réseau du PMU en France devait sa réussite à une organisation rigoureuse. Acheminer et dépouiller les données à temps, éviter les erreurs, déjouer les tentatives de fraude, tel était le challenge journalier.

Le bon déroulement des opérations dépendait de nombreuses procédures destinées à fiabiliser la longue chaîne des interventions humaines. Vendre dans toute la France et acheminer quinze millions de bordereaux puis les trier manuellement pour extraire les payables et calculer les rapports en huit heures, sans oublier les contrôles, témoigne de la compétence et de la cohésion d’équipes motivées. En termes de systèmes d’information, la granularité garantissait la continuité du service, à l’abri de la panne générale, avec un ratio performance / coût enviable. D’ailleurs, pendant les grandes grèves de 1968, le Tiercé n’a jamais failli. Il est d’ailleurs intéressant de souligner qu’avant l’ère informatique, la méthode de tri des bordereaux encochés s’appuyait sur un système binaire : lorsque le bordereau n’était pas encoché, l’aiguille à tricoter pénétrait dans le trou et le bordereau restait retenu par l’aiguille. Lorsque le bordereau comportait l’encoche, le bordereau tombait.

Les systèmes mécaniques et électromécaniques

En 1913, G. Julius met au point le premier totalisateur automatique au monde à Auckland avec trente terminaux. Plus tard, il fonde la société Australienne A.T.L (Automatic Totalisator Limited). Le totalisateur est principalement constitué d’unités électromécaniques additionneur-compteur-afficheur, à raison d’une unité par cheval et par pari, capables de cumuler chacune plusieurs centaines de mises à la seconde. Un additionneur met en œuvre un ou plusieurs axes dotés de trains d’engrenages coniques épicycliques mus par des ressorts hélicoïdaux. Le mouvement de ces engrenages est déclenché par des roues à échappement, leur commande électromagnétique est excitée, via un scanner électro-mécanique, par la sélection d’un numéro de cheval sur l’un des terminaux de vente. En 1928, ATL déploie son totalisateur sur l’hippodrome de Longchamp. Avec 270 terminaux, c’était le site le plus important jamais automatisé. Les terminaux ATL, qui jusqu’alors ne pouvaient prendre qu’un type de pari par guichet, ont été adaptés pour vendre des tickets Gagnant ou Placé sur la même machine. Développés par ATL, ils ont été fabriqués en France sous son contrôle.

Ce totalisateur restera en exploitation jusqu’en 1973, année où il sera remplacé par le système embarqué de la société PMC (Périphériques et Matériels de Contrôle), premier système « sell & cash » (« vente et argent comptant ») automatisé au monde. Hors de l’Hexagone, des totalisateurs fonctionnant avec les concepts de G. Julius étaient encore en exploitation dans les années 1980. Si le pari mutuel n’a pas fait appel, dès son apparition vers 1930, à cette technologie lourde et finalement plus lente que les dispositifs électromécaniques de l’époque, il va en revanche s’appuyer sur le relais reed sous ampoule scellée. Plus rapide que le relais classique, son temps de propagation est proche de la milliseconde, il est plus fiable, moins encombrant, moins gourmand en énergie. Les relais reed auraient connu un essor important sans l’arrivée du transistor. La société anglaise Bell-Punch a développé des totalisateurs à relais reed capables d’enregistrer des paris en temps réel. Plusieurs sites importants ont fonctionné avec cette technologie notamment au Brésil et en France. La société française SEPMO (Société d’exploitation du pari mutuel Oller), fondée en 1949 par les successeurs de Joseph Oller, installe et exploite à Auteuil de 1966 à 1987 un totalisateur à relais reed et 500 terminaux électromécaniques Bell-Punch. À son installation, il cumulait les mises des paris gagnant et placé dans des compteurs électromagnétiques, à raison d’un compteur par numéro de cheval, par type de pari et par unité de base. Par ailleurs, 6 baies de compteurs et un perforateur de bande recevaient les enjeux des terminaux destinés au pari jumelé (unitaire et champ). Un ensemble, lecteur de bande et unité de traitement, permettait l’exploitation de cette bande. Deux cellules de camions, équipées avec des unités à relais reed et des compteurs, desserviront trois hippodromes franciliens (Enghien, Maisons-Laffitte et Saint-Cloud) ainsi que neuf hippodromes de province, avec des terminaux Bell-Punch. Ces unités mobiles acceptent aussi le pari Jumelé, un mini-ordinateur étant utilisé pour extraire les mises payables de la bande perforée. En 1960, le monde industriel amorce le passage de l’électronique du vide à l’électronique du solide. Les transistors de commutation destinés aux circuits logiques entrent en production industrielle. Leur délai de propagation est inférieur à la micro-seconde.

DEC (Digital Equipment) commercialise son premier mini-calculateur transistorisé. Fin 1964, sur l’hippodrome de Vincennes, la Compagnie du pari mutuel Chauvin teste un totalisateur électronique et les premiers terminaux enregistrant les paris de combinaison en temps réel. Le système central avait été initialement développé par une firme suédoise pour ses terminaux de distribution à touches TIM (Ticket Issuing Machine) qui acceptaient seulement les paris unitaires gagnant et placé. En 1967, l’automatisation est étendue à l’ensemble de l’hippodrome. Le totalisateur avait été adapté, à l’initiative de la CPM, pour piloter ses propres terminaux self-service SSM capables d’automatiser la saisie des paris simples et des formules de combinaison des paris jumelé et triplet, jusqu’à 7 chevaux, en lisant et en validant des formulaires encochés par les parieurs, à l’image des encochés du PMU qui ont fait le succès du Tiercé. Ce système unique au monde permettait de résorber complètement la file d’attente des cinq dernières minutes. À cette époque, l’informatique balbutiante ne pouvait pas encore rivaliser. Les parieurs venaient nombreux sur les hippodromes. L’ambiance y était chaude. Les encombrements de circulation entre halls et piste ajoutés à l’attrait de la cote affichée en temps réel laissaient peu de temps pour jouer. Il fallait faire vite ! Les performances n’avaient rien à envier aux systèmes modernes. Le délai maximum d’attente en crash-test, impression des récépissés incluse, restait inférieur à 1 seconde.

 

1930. Le PMU

Depuis la loi du  autorisant le pari mutuel, on ne peut parier sur les courses de chevaux que sur les hippodromes. Ceux qui ne peuvent s’y rendre sont placés devant l’alternative : ou s’abstenir, ou confier leurs paris à des « bookmakers » agissant illégalement. Le prospère commerce des paris clandestins, dont la répression s’avère difficile, ne fait pas l’affaire des sociétés de courses organisatrices, ni de l’État, tous deux privés d’importants revenus leur échappant. Et cette situation inquiète plus que jamais un milieu agricole directement concerné, celui de l’élevage, destinataire d’une part des prélèvements sur les paris. On s’accorde enfin pour combattre les clandestins, le meilleur moyen étant de les concurrencer sur leur propre terrain, c’est-à-dire en ville. Le débat est ouvert au printemps 1930. Faut-il permettre l’enregistrement des paris sur les courses en dehors des hippodromes ? Opposants : les défenseurs de la vertu et d’une certaine morale. Favorables : les pragmatiques. On ne peut empêcher les gens de parier. Permettons leur de parier hors des hippodromes. L’élevage et l’État percevront des recettes supplémentaires qui leur échappent jusqu’alors. Pour ce faire, il suffit de supprimer six mots « sur leurs champs de courses exclusivement » figurant dans l’article 5 de la loi du  autorisant le pari mutuel. Cette suppression est votée par la Chambre des députés le . Ainsi la loi de finances du  (article 186) permet l’extension du pari mutuel hors des hippodromes. La conception du pari mutuel urbain est reconnue officiellement par un décret publié le . Les sociétés organisatrices de courses, tout en gardant la haute direction, décident de confier l’organisation matérielle du pari mutuel urbain à une gérance réunissant des spécialistes (trois représentants de la Société Oller et André Carrus du Pari mutuel Chauvin) dont elles utilisent déjà les services sur les hippodromes. La mise en œuvre nécessitant quelques mois d’étude, la naissance du pari mutuel urbain n’interviendra que le , lors d’une réunion de sept courses au trot à Vincennes. Le succès du pari mutuel urbain, bientôt baptisé PMU, est spectaculaire. Si, lors de sa première année de fonctionnement, le chiffre d’affaires du PMU ne représente que 13,8 % de celui enregistré sur les hippodromes, il s’élève à 78,3 % en 1938. Pour les sociétés de courses, le PMU surgit au bon moment. Il va leur permettre de juguler les effets de la crise économique des années 1930. En l’an 2000, quand le PMU célèbre son 70e anniversaire, il a subi quelques interventions réglementaires. Mais seulement de la petite chirurgie destinée à modifier plus son aspect que son action. Ainsi par un décret du , l’État lui a donné une personnalité juridique. Il est devenu un GIE (Groupement d'intérêt économique) géré par les sociétés de courses sous la tutelle de l’État. Au fil du long chemin parcouru, tout en améliorant la prise des paris traditionnels de base appréciés du monde hippique, le PMU a su créer des produits originaux destinés à une nouvelle clientèle prête à inclure le jeu dans son budget loisirs mais jusqu’alors indifférente aux courses. Le Tiercé en 1954 et le Quarté + en 1976 sont les plus frappants témoignages. Aujourd’hui, il met une vaste gamme de paris à la disposition d’une clientèle rassemblant trois familles de parieurs : les réguliers (55 %), les occasionnels (40 %) et les spécialistes (5 %). Au service de tous ces parieurs, il offre des conditions de jeu sans cesse à la pointe du progrès.

 

Le pari mutuel et les courses

La consultation de volumes du Sport Universel Illustré, ancêtre de L'Équipe, nous apprend que jusqu'aux années 1900, ce qui correspond à peu près à la montée en puissance des sports olympiques (dont la première célébration sera organisée à Athènes en 1896), et jusque dans l’entre-deux-guerres, l'hippisme était le sport par excellence. Un sport bourgeois, certes, au même titre que la chasse ou la voile par exemple, mais public : on ne concevait plus d'organiser des courses à huis clos. Le public, et le jeu, accompagnaient immanquablement les manifestations de ce type. Le produit des prélèvements sur les enjeux (notamment au pari mutuel) permet de financer toute la filière. La rétribution des courses permet à des propriétaires modestes d'espérer rentabiliser leur investissement, au moins de percevoir une partie de leur investissement. Sans ces allocations, tous les bons chevaux seraient concentrés dans les mains de quelques écuries super puissantes.

 

Trot et galop : un monde de différences

En France, le programme des courses est réparti entre deux disciplines très différentes l'une de l'autre : le trot et le galop. Chaque allure a sa tradition, son monde et ses règles propres.

Le galop a précédé le trot dans les annales de l'hippisme parce qu'il allait de soi : un cheval atteint le maximum de sa vitesse au grand galop, une allure naturelle qui lui permettait, à l'état sauvage, d'échapper à ses prédateurs. Lorsqu'au xviiie siècle, les Anglais se sont les premiers concentrés sur un élevage spécifique à la course au galop, en croisant des pur-sang arabes, des barbes et des étalons orientaux à des juments désignées pour cette activité par leurs qualités propres, ils ont créé le pur sang (le Thoroughbred, dont la traduction la plus exacte est « élevé dans les règles »), la race la plus rapide au monde.

Les courses à cette époque ont vite été considérées comme le « sport des rois », en raison de l'intérêt que leur portait la noblesse britannique. Les coûts qu'entraînaient l'entretien d'un élevage et d'une écurie dès les premiers balbutiements de l'activité ont, de fait, limité l'hippisme aux plus fortunés. Ainsi, toute la tradition du galop, sur tous les continents, a été façonnée par les aristocraties et les grandes bourgeoisies locales. En France, les aristocrates français ont ramené de leur exil britannique, après les parenthèses révolutionnaire et impériale, le goût pour la course au galop, avant que celle-ci ne prenne réellement son essor sous le Second Empire. Les nantis trouvaient ainsi un moyen pacifique de s'affronter par fortunes et chevaux interposés. L'Empire anglais a jeté sur ses colonies les bases d'une activité hippique partout où il s'est étendu. Inspirés du programme classique anglais (le Derby d'Epsom demeurant la référence au niveau mondial), les calendriers se sont tous organisés sur le même modèle, ce qui a par la suite facilité les échanges internationaux. C'est ainsi que l'Amérique puis l'Australie et la Nouvelle-Zélande sont devenus des terres d'élevage où s'exportaient parfois des étalons européens.

Parallèlement, un sport plus amateur s'est développé : le saut d'obstacles. Au croisement de la chasse à courre et de la course dite plate, il permettait à des « cavaliers du dimanche », des militaires et des dandys de s'affronter en selle sur des parcours variés, d'un clocher à l'autre (traduction littérale de Steeple-Chase). Progressivement soumis à un encadrement comparable à celui des épreuves de plat, l'obstacle a néanmoins continué de privilégier un certain amateurisme, notamment avec le patronage de l'armée côté français, et des chasseurs à courre sur les Îles Britanniques. Même si des hippodromes proches des grandes villes, comme Liverpool, Auteuil ou, pour l'anecdote, Saint-Ouen et Colombes, ont su organiser les principales rencontres dans la spécialité, c'est en province que demeurait le terreau le plus favorable à l'obstacle. Si là aussi, beaucoup d'aristocrates et de grandes fortunes se mesuraient dans les programmes, les gentlemen-farmers de France et de Grande-Bretagne ont pris une place importante dans ce nouvel establishment.

Le développement du trot tient à des conditions radicalement différentes du galop, plat comme obstacle, mais aussi à des situations sociales et géographiques très disparates. Aux États-Unis, par exemple, le trotting s'est organisé dès la fin du xviiie siècle en réaction au sport pratiqué par les occupants anglais, puis dans les états du sud. L'attelage léger était monnaie courante chez les premiers colons nord-américains, qui se mesuraient ainsi comme on le ferait aujourd'hui au volant de sa voiture banalisée d'un village à l'autre, au retour du sermon à l'église. L'élevage s'est constitué autour d'une seule discipline : le mile (1 609 mètres) à l'attelage. Cette particularité a donné le Standardbred, le « trotteur standard », conçu pour parcourir cette distance le plus vite possible au trot ou à l'amble. Plus abordable et populaire que le galop, le trot américain a prospéré dans tous les États de l'Est et du Midwest. Cette race de trotteurs, la plus aboutie en raison de la standardisation de ses critères de sélection, a apporté la vitesse nécessaire à tous les autres cheptels dans le monde, y compris à la Russie soviétique, qui importait des étalons standardbreds jusqu'aux heures les plus sombres de la Guerre froide.

Course de trot monté à Vincennes

La France est sans doute le pays qui a le plus longtemps résisté à cet attrait. Le trotting français a été porté sur les fonts baptismaux par l'Armée et les haras nationaux. La première recherchait une race de chevaux à plusieurs usages susceptible d'améliorer l'efficacité de la cavalerie et de la logistique. Il fallait des animaux robustes, capables de couvrir de longues distances avec de lourdes charges en un minimum de temps. En résumé, il fallait des chevaux pour tirer des canons et des vivres, mais aussi porter des cuirassiers sur le champ de bataille et d'un front à l'autre. Le trot monté avait donc une place de choix dans les programmes qui se sont développés en Normandie à partir des années 1830, puis à Vincennes, où l'on a d'abord pratiqué l'obstacle. Cette structure très encadrée explique sans doute le côté très administratif et bon marché du trotting jusqu'à aujourd'hui en France. C'est également dans ce contexte qu'est née une race spécifique, le « Trotteur français », dont le stud-book est demeuré globalement fermé aux apports de sang étranger, sauf pendant quelques périodes au gré des orientations politiques et des besoins de renouvellement génétique. À cet égard, c'est une exception mondiale. Le trot en France est une activité fondamentalement rurale. Cela tient à la rusticité des animaux, à leur faible prix (sans concurrence internationale, le marché est demeuré franco-français) et au fait que très longtemps, au monté comme à l'attelage, le poids des drivers et des jockeys n'a pas été déterminant. Chacun pouvait donc s'improviser entraîneur et pilote.

Aujourd'hui, les trois disciplines sont pratiquées en France à un très haut niveau de professionnalisme, et les organisations qui président à leurs destinées s'entendent sur l'essentiel. Toutefois, les traditions et la société propre à chacun sont demeurées. Les structures du trot et du galop divergent dans leur approche. Les premières sont plus portées sur la ruralité et une répartition sociale des ressources tandis que les secondes prônent l'élitisme et les échanges internationaux, en particulier en plat. La population de Vincennes le jour du Prix d'Amérique est plus populaire et rurale que celle du Grand Steeple-Chase de Paris à Auteuil, lui-même plus provincial et francophone que celui du Prix de l'Arc de Triomphe à Longchamp..

---------------------------------------------------------------------------------

Adresse émail : magicquinte@gmail.com

-

PRONOSTIC 100% GRATUIT

On en Parle Beaucoup : X -X- X
Les Tocards : ?? - X - ?? - X
Pour une Place : X - X - X
Complément : ?? - ??
Les Étoiles du Quinté au choix : ?? - ?? - ?? - ?? - ??
Nos 2 Pros :
X - X
Délaissés du Jour : X - X- X -- Ardoise : - X